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Optimiser son site pour la recherche vocale : mode d’emploi

Backlinko.com a analysé 10 000 résultats de recherche Google Home pour répondre à la question suivante : quels sont les facteurs qui impactent le SEO vocal et comment optimiser votre site en conséquence ? A l’heure où 1 tiers des possesseurs de smartphones dans le monde utilisent la recherche vocale quotidiennement, optimiser son site en conséquence devient une nécessité. De la vitesse de chargement de votre site en passant par votre contenu et le choix de vos mots-clés, voici 11 facteurs de classement potentiels afin de vous aider à vous classer sur les résultats de recherche vocale, un atout considérable en 2019.

1. La vitesse de chargement de votre site web

Pour découvrir la relation entre la vitesse de chargement d’un site Web et la recherche vocale, nous avons analysé le PageSpeed des résultats dans notre ensemble de données. Et nous avons constaté que la vitesse de chargement d’un site provenant d’une recherche vocale était beaucoup plus rapide que la plupart des autres pages Web. Plus précisément, nos données ont révélé que le “Time to First Byte” (TTFB) moyen d’un résultat de recherche vocale était de 0,54 seconde (par rapport à la moyenne mondiale qui est de 2,1 secondes). Nous avons également constaté que le temps nécessaire au chargement complet d’une page (4,6 secondes) était considérablement plus rapide que celui de la plupart des pages (8,8 secondes). Comme vous l’avez peut-être entendu, Google a également dévoilé sa «Speed Update». Cette mise à jour fait de la vitesse de chargement d’un site un signal de classement plus important que jamais. Dans cette mise à jour, Google déclare :Les gens veulent trouver les réponses à leurs questions aussi rapidement que possible.

Et cette philosophie s’applique également aux résultats de recherche vocale. Lorsque vous posez une question à Google Home ou à son assistant, vous ne souhaitez pas attendre que votre appareil sorte une réponse. Vous voulez votre réponse aussi rapidement que possible. Par conséquent, il est plausible que l’algorithme de recherche vocale de Google utilise la vitesse de chargement des pages comme facteur de classement important. Et nos données confortent cette théorie : les résultats de recherche vocale ont tendance à se charger nettement plus rapidement que la plupart des pages Web.A retenir
L’algorithme de recherche vocale de Google peut utiliser PageSpeed comme signal de classement clés. La page de résultats de recherche vocale se charge en moyenne en 6 secondes (ce qui est 52% plus rapide que la moyenne). Par conséquent, si vous souhaitez vous classer dans la recherche vocale, assurez-vous que votre site se charge le plus rapidement possible.

2. Les sites web en HTTPS

Google a déclaré que le protocole HTTPS peut donner à votre site Web un “boost minimal” dans les résultats de recherche. Mais cela s’applique-t-il également à la recherche vocale ? Nos données suggèrent que le HTTPS pourrait jouer un rôle encore plus important dans la recherche vocale que dans la recherche sur ordinateur ou sur mobile. Nous avons découvert que 70,4% des URL des résultats de recherche vocale avaient adopté HTTPS (contre seulement 50% des résultats sur ordinateur). Comme pour beaucoup d’autres facteurs sur lesquels nous avons enquêté, cette relation pourrait être une corrélation fortuite. Après tout, si vous prenez le temps d’écrire du contenu optimisé pour les moteurs de recherche, vous êtes également prêt à dépenser le temps et l’argent nécessaires à la configuration HTTPS. L’argument contraire à cela est que les résultats de recherche vocale tendent à utiliser le protocole HTTPS (70,4% contre 50%) de manière significative par rapport aux autres résultats de la première page de Google, qui sont également optimisés pour le référencement. Google considère-t-il que le HTTPS est plus important pour les résultats de recherche vocale ? Il est impossible de le dire. Toutefois, si vous souhaitez vous classer dans les résultats de recherche vocale, le HTTPS peut vous aider.A retenir
Les résultats de la recherche vocale utilisent beaucoup plus le protocole HTTPS que les autres sites Web classés en première page de Google. Par conséquent, l’implémentation de HTTPS peut augmenter vos chances d’apparaître comme résultat de recherche vocale.

3. Des résultats courts et concis

Si vous lisez le guide de Google sur la recherche vocale, vous verrez clairement indiqué que les résultats de recherche vocale doivent être très brefs et précis. Google veut que les résultats de recherche vocale soient aussi concis que possible. Et nos données le confirment. Nous avons découvert que la réponse moyenne à une recherche vocale était de 29 mots. Par conséquent, si vous souhaitez que votre contenu soit classé dans Google Home ou dans l’Assistant Google, rédigez la réponse la plus courte possible (tout en fournissant une réponse complète à cette question).A retenir
Les résultats vocaux de Google ont tendance à être très concis. Donc, pour optimiser le référencement dans la recherche vocale, essayez de faire en sorte que vos réponses comptent environ 29 mots.

4. Schema.org ne vous aidera pas

Vous savez probablement déjà que le balisage Schema.org peut aider les moteurs de recherche à mieux comprendre votre contenu. Mais l’utilisation de Schema a-t-elle un impact sur les résultats de la recherche vocale ? Probablement pas. Nos données ont révélé que 36,4% des résultats de recherche vocale utilisaient ce balisage (contre 31,3% en moyenne pour les autres résultats). Bien que les pages de résultats de recherche vocale tendent à utiliser Schema un peu plus souvent qu’une page Web moyenne, la différence n’est pas significative. De plus, 63,6% des résultats de recherche vocale n’utilisent pas du tout ce balisage. Par conséquent, il est peu probable qu’il ait un impact direct sur les classements de la recherche vocale. À partir de nos seules données, il est impossible de dire si Schema peut vous aider à mieux vous classer pour les requêtes vocale. Cela dit, lorsqu’il est utilisé correctement, Schema peut améliorer votre visibilité sur toutes les plateformes. Il est donc logique de l’utiliser, même si cela n’aidera pas forcément pour le référencement par recherche vocale.A retenir
Schema peut vous aider dans vos efforts global de référencement. Cependant, nos données suggèrent que cela ne semble pas avoir d’impact sur les classements de recherche vocale.

5. Un site web avec une bonne autorité

Les sites Web avec une autorité forte tendent à mieux se classer dans les résultats de la recherche vocale. Nous savons tous que les backlinks constituent la base de l’algorithme de Google pour les ordinateurs de bureau et les appareils mobiles. Pour voir si les backlinks jouent un rôle dans la recherche vocale, nous avons analysé chaque résultat pour déterminer son autorité de domaine et de page (deux métriques développées par Ahrefs pour évaluer l’autorité des sites Web et des liens au niveau de la page). Et nous avons découvert que la note moyenne d’un domaine présent dans un résultat de recherche vocale était de 76,8. Inutile de dire à quiconque travaille dans l’industrie du référencement, qu’il s’agit d’une autorité de domaine considérablement élevé. Fait intéressant, nous avons constaté que l’autorité des pages de résultats de recherche vocale était beaucoup plus faible. En effet, le Page Rating moyen n’était que de 21,1. Qu’est-ce qui pourrait expliquer cela ? Contrairement à une recherche classique, dans laquelle vous obtenez une liste de 10 liens, Google Home vous donne une réponse unique à votre question. Cela signifie que Google doit être absolument sûr de vous fournir des informations précises. Et pour assurer la précision, l’algorithme de recherche vocale s’appuie davantage sur l’autorité de domaine plutôt que sur l’autorité de page. En d’autres termes, une fois que Google trouve une réponse plausible à la recherche vocale sur un site Web de confiance, peu importe le nombre de liens pointant vers la page elle-même.A retenir
L’autorité de domaine moyen d’un résultat de recherche vocale est de 76,8. Par conséquent, l’algorithme de recherche vocale de Google met l’accent sur des domaines de confiance faisant autorité.

6. Un contenu très partagé

Notre étude a révélé que les résultats de la recherche vocale avaient généralement un nombre relativement élevé de partages sur les réseaux sociaux. Considérant que la moitié de tout le contenu présent sur le Web obtient 2 partages Facebook ou moins, un nombre  de partage Facebook de 1199 est frappant. Cela dit, nous devons préciser quelque chose : il est extrêmement improbable que l’algorithme de recherche vocale utilise des signaux sociaux. Dans ce cas, c’est probablement un cas de corrélation, pas de causalité. Google a déclaré à plusieurs reprises que les signaux sociaux ne sont pas utilisés dans leur algorithme. Il est donc difficile de trouver une raison pour que l’algorithme de recherche vocale utilise des signaux sociaux. Cela dit, ces données nous disent quelque chose : un contenu intéressant et attrayant fonctionne bien dans tous les environnements de recherche. Et la recherche vocale ne fait pas exception.A retenir
La publication de contenu précieux et hautement partageable peut améliorer vos chances de figurer dans les résultats de recherche vocale.

7. Un contenu facile à lire et à comprendre

Les directives officielles de Google relatives à la recherche vocale soulignent l’«élocution». En gros, il est dit : “At-il été facile de comprendre la réponse à votre recherche vocale ?”. Il va sans dire que plus le langage utilisé est simple, plus il est facile pour Google de définir le facteur d’élocution. En effet, nous avons constaté que le résultat moyen des recherches vocales était écrit à un niveau de lecture de 6ème. Cela dit, nos données ne prouvent pas que Google utilise le niveau de lecture comme facteur de classement dans son algorithme. Mais c’est possible. Après tout, il serait logique que l’algorithme classe les contenus faciles à comprendre en premier. Pensez simplement à la différence fondamentale entre un résultat Google Home et une liste de résultats présenté avec 10 liens cliquables :

  • Il doit contenir des mots simples, faciles à prononcer par Google.
  • Vous devez comprendre les informations sans aucune référence visuelle
  • Vous n’êtes pas facilement en mesure de rechercher des mots ou des phrases difficiles

Dans cet esprit, il est plausible que Google puisse mesurer le niveau de difficulté de lecture et l’utiliser comme facteur de classement dans la recherche vocale.A retenir
Les résultats de recherche vocale moyen sont écrits à un niveau de lecture de 6ème. La publication de contenu simple et facile à comprendre peut donc aider à bien vous classer.

8. Un mot-clé “exact” dans votre titre ne va pas forcément vous aider

Devez-vous créer du contenu pour chaque mot clé que vous souhaitez classer ? En ce qui concerne la recherche vocale, la réponse semble être : «non». En fait, seulement 1,71% des résultats de recherche vocale utilisent le mot clé exact dans leur balise title. Google insiste donc moins sur cette balise. Si cela est vrai, cela aurait du sens pour deux raisons : premièrement, environ 20% de toutes les recherches sur mobile sont désormais des recherches vocales (et selon Comscore, 50% de toutes les recherches seront des recherches vocales d’ici 2020). Avec autant de recherches vocales, il est impossible pour Google de trouver une page dédiée à chaque requête. Au lieu de cela, Google explore la page entière pour trouver la meilleure correspondance pour cette recherche vocale particulière. Deuxièmement, les gens utilisent les recherches vocales et celles sur ordinateur de différentes manières. Plus précisément, les recherches vocales sont 76,1% plus longues que les recherches textuelles. Des recherches plus longues rendent encore moins probable que la phrase exacte apparaisse dans la balise de titre. En bref, ne vous souciez pas de la création de pages optimisées autour de mots-clés individuels. Écrivez plutôt un contenu détaillé pouvant répondre à plusieurs requêtes vocale sur une même page.A retenir
L’optimisation des balises title ne semble pas jouer un rôle important dans le référencement naturel des recherches vocales.

9. Un contenu long

Nous avons cherché à savoir si un contenu long (> 1 000 mots) se classait mieux en recherche vocale. Nous avons découvert qu’en effet, les résultats de recherche vocale Google provenaient principalement de pages contenant un nombre de mots élevé. Plus précisément, nous avons constaté que le nombre de mots moyen d’une page de résultats de recherche vocale Google était de 2 312 mots. Cela signifie-t-il que, comme pour les recherches sur ordinateur de bureau, Google Home a une préférence pour les pages contenant un certain nombre de mots ? Peu probable. Comme nous l’avons expliqué précédemment, les résultats de la recherche vocale sont relativement brefs (moyenne de 29 mots). Il n’ya donc aucune raison pour que Google préfère qu’un aussi petit extrait provienne d’une page aussi volumineuse. Cela est probablement dû au hasard : plus de mots = plus de possibilités de “correspondance” en tant que résultat. Cela dit, pour cette seule raison, vous souhaiterez peut-être publier un contenu plus long afin de vous positionner plus souvent pour les recherches vocales. En plus du grand nombre de mots, la structure de votre contenu peut jouer un rôle dans le référencement. Nous avons constaté que, pour les résultats pour lesquels Google fournissait une source pour leur réponse, 2,68% des résultats vocaux provenaient de pages de FAQ. C’est logique. Une bonne partie des recherches vocales sont des requêtes longues, basées sur des questions. C’est donc le type de questions qui trouvent sa réponse dans une page de FAQ. De plus, les pages de FAQ sont dans un format parfait pour la recherche vocale : une question en forme de conversation et une réponse brève juste en dessous.A retenir
Un contenu plus long signifie davantage de possibilités pour votre page de «correspondre» à une requête vocale. De plus, les pages FAQ ont tendance à être particulièrement performantes en recherche vocale.

10. Un classement élevé

La recherche a révélé un lien clair entre le classement et le choix de la réponse aux requêtes Google Home. Nous avons constaté que 74,9% des résultats de Google Home provenaient d’une page classée dans le top 3 pour ce mot clé. En d’autres termes, plus une page se classe haut pour un mot clé spécifique, plus Google choisira probablement cette page comme résultat de la recherche vocale. Nous tenons à souligner qu’il existe une forte probabilité que cette constatation soit une corrélation pure et non un lien de causalité. Après tout, comme nous l’avons vu précédemment, les sites avec une autorité de domaine élevée sont des sources privilégiées de réponses à la recherche vocale. Et les sites Web ayant une autorité de domaine élevée ont également tendance à bien se classer dans Google. Ou bien, il se peut que Google veuille donner aux personnes effectuant une recherche vocale un contenu qui a déjà fait ses preuves dans les SERP traditionnels. Par conséquent, ils préfèrent extraire les résultats de la recherche vocale d’un contenu de haut niveau. Il est impossible de le dire à partir de nos seules données. Quoi qu’il en soit, la relation est claire : un classement plus élevé dans la recherche sur ordinateur = plus de chances d’être un résultat de recherche vocale Google Home.A retenir
Les pages qui se classent parmi les 3 premiers résultats sur bureau ont tendance à dominer les résultats de la recherche vocale. 74,9% des résultats de Google Home proviennent d’une page classée parmi les 3 premières pour ce mot clé dans les SERP.

11. Apparaître dans les featured snippets

À bien des égards, les featured snippets sont des résultats de recherche vocale idéaux. Ce sont des réponses concises tirées de sources fiables et faisant autorité. Nous avons donc cherché à savoir combien de réponses à la recherche vocale avaient été extraites simplement de featured snippets correspondant à ce mot clé (dans la recherche sur bureau). Et nous avons découvert que 40,7% de tous les résultats de recherche vocale provenaient d’un featured snippet.A retenir
Apparaître dans un featured snippet semble aider, mais ce n’est pas forcément nécessaire pour se classer dans la recherche vocale. 40,7% des résultats de recherche vocale sont extraits de featured snippet.

Conclusion

Comme vous pouvez le constater, il y a de nombreux facteurs qui impactent votre référencement pour la recherche vocale. La vitesse de chargement de votre site, les featured snippets ou encore un contenu facile à lire, voici autant de choses à optimiser pour que votre site apparaisse en priorité dans les résultats vocaux.

19 conseils pour améliorer vos newsletters

Vous avez lancé votre site internet et cherchez maintenant un moyen de fidéliser vos visiteurs et clients ? Le moyen le plus efficace : la newsletter ! Cependant, il est parfois difficile de savoir comment la gérer efficacement. Pas d’inquiétudes : on vous guide pas à pas dans l’exécution de cette nouvelle étape.

Tout le monde connaît ce phénomène des boîtes mails envahies par des newsletters en tout genre, que l’on n’ouvre pas toujours. Pour attirer l’œil, votre newsletter doit être attractive et intéressante, sinon, votre abonné s’en désinscrit ! Voici 19 conseils  pour éviter que cela ne vous arrive.

Conseil #1 – Choisir le bon outil

Avant de commencer, il faut trouver le moyen de partager votre newsletter facilement. Pour ce faire, beaucoup de logiciels existent. Deux des plus populaires en France sont SendinBlue et MailChimp. Les logiciels de création de sites web ont également, pour la plupart, développé des modules de gestion de newsletters plus basiques mais souvent bien conçus.

Les meilleurs logiciels fonctionnent très simplement, s’articulant autour de deux principales features : la gestion des campagnes et la gestion des contacts. Ils permettent d’éditer des modèles à partir de templates d’emails et d’envoyer de nombreux emails sans qu’ils soient considérés comme des spams. Les autres logiciels, moins connus mais tout aussi performants, possèdent des outils analytiques qui déterminent l’impact de votre campagne. Campaign Monitor World’s View, par exemple, vous permet de voir vos abonnés ouvrir le mail en temps réel n’importe où dans le monde.

[sc name=”SendinBlue – Big”]

Conseil #2 – Déterminer la cible

Selon l’activité que vous gérez, selon les contenus que vous voulez promouvoir, votre newsletter sera différente. Elle peut prévenir vos clients de la sortie d’un nouveau service que vous offrez, ou de la mise à jour d’un service existant ; faire de la pub pour des offres, des avant-premières, des promotions. La question à toujours se poser est celle-ci : que voulez-vous faire avec cette newsletter 

Vos abonnés ont choisi de recevoir vos emails.Ils doivent être votre priorité. Pour cela, apprenez à les connaître, pensez à eux quand vous créez votre newsletter : qu’est-ce qui les intéresse ? Que voulez-vous partager avec eux ?

Pensez également au langage que vous utiliseriez si vous aviez une vraie conversation avec eux. Une newsletter doit avoir un ton amical, le ton détendu des communications par internet. Écrivez comme vous parleriez : de cette façon, votre newsletter sera plus simple et plus rapide à rédiger.

Conseil #3 – Décider du format

Il faut vous poser les questions suivantes pour pouvoir décider de votre format :

  1. À quoi va ressembler votre newsletter ?
  2. Comment allez-vous la construire ?
  3. Quel type d’email client voulez-vous ?
  4. Désirez-vous l’option « ouvrir la page sur internet » ?
  5. Sur quels types d’appareils voulez-vous que vos emails soient lisibles ?
  6. Vos emails apparaîtront-ils différemment selon que l’on soit sur portable, tablette ou ordinateur ?

N’hésitez pas à vous renseigner sur les autres newsletters. C’est une bonne façon de se faire une idée, et de se décider pour ce qui est bon pour vous et votre public. Pensez à celles que vous préférez, ou rendez-vous sur des sites comme Really Good Emails pour trouver des idées. Et bien sûr, nous vous invitons à prendre connaissance des multiples articles publiés sur La Fabrique qui traitent de ce sujet !

Conseil #4 – Rester focus

Vous pouvez soit adopter le style de votre entreprise, soit proposer quelque chose de plus créatif. Assurez-vous cependant que votre newsletter ne contienne pas trop d’informations : évitez d’inclure trop de liens, de trop vous éparpiller. <Restez concentré sur le message à faire passer.

Conseil #5 – Personnaliser votre email

Le meilleur conseil que nous puissions vous donner est de rester simple ! Néanmoins, il n’y a rien de plus important que de voir votre identité, celle de votre entreprise et la visée de votre message en un seul coup d’œil. Donnez à vos newsletters un cachet.

Conseil #6 – Ajouter des titres de section

Les en-têtes et les titres sont cruciaux, mais difficiles à maîtriser. Gardez toujours en mémoire ce qui attire votre attention quand vous cherchez un site ou une newsletter. Si un article est excellent, mais que son en-tête ne vous plaît pas, vous allez en toute logique l’éviter. L’en-tête est donc aussi important que le contenu.

Conseil #7 – Ajuster l’en-tête

L’en-tête apparaît sur tous les emails que vous envoyez. Il doit donc être parfait. Il est obligatoire d’y faire apparaître le nom de votre marque ou votre logo, pour que le lecteur sache immédiatement de qui provient l’email.

Votre en-tête doit toujours visuellement rappeler les valeurs de votre entreprise, et provoquer une réaction émotionnelle chez le lecteur… un peu comme un cadeau bien emballé !

Conseil #8 – Ne pas négliger le pied de page

Le pied de page est aussi important que l’en-tête. Sans lui, votre page ne paraît pas complète, comme s’il manquait quelque chose. Le lecteur s’attend à y trouver vos informations de contact : grâce au pied de page, il est plus facile de partager la newsletter (dans son intégralité ou seulement en partie) avec des amis par email et via les réseaux sociaux. N’oubliez pas d’inclure un lien de désinscription ! Il est bien plus sympathique d’avoir cinquante personnes engagées sur votre site et votre newsletter, que d’en avoir cinq-cents qui ne font que jeter l’email d’une newsletter qui ne les intéresse pas ou plus.

Conseil #9 – Ajouter des images

Une newsletter qui ne comporte que du texte est le plus souvent ennuyeuse. Les images améliorent la communication avec vos abonnés. Vous avez de bonnes photos d’événements, des membres de votre équipe ou de produits hors du commun ? N’hésitez pas à les ajouter !

Choisissez les photos qui vous représentent le mieux, vous et votre entreprise, et améliorez-les un peu sur Photoshop. Au mieux, faites appel à un graphiste.

Certaines entreprises ajoutent des vidéos, mais c’est un procédé particulièrement compliqué, techniquement. Pensez toujours au public que vous visez et aux supports qu’ils préfèrent.

Conseil #10 – Générer de l’attente chez vos inscrits

Les communications que vous envoyez n’ont pas forcément besoin de concerner des produits déjà lancés ou des réalisations. Cela peut rapidement lasser vos abonnés. Pour varier votre contenu, ne parlez pas que du passé, mais abordez l’avenir. Partagez les rêves et les espoirs que vous avez pour votre entreprise. Si vous êtes en train de développer un nouveau produit, partagez le récit de votre expérience, qu’elle soit bonne ou mauvaise, à vos lecteurs. Assurez-vous de toujours faire en sorte que leur intérêt soit aussi important qu’au premier jour.

Conseil #11 – Raconter une histoire

Partager l’histoire de votre entreprise ou de votre projet en cours permet aux gens de pouvoir s’impliquer un peu plus dans ladite histoire. C’est dans la newsletter qu’ils trouveront les informations pour savoir comment s’y prendre. À vous de trouver la plus imaginative des façons de raconter cette histoire… Personne n’a dit qu’une newsletter ne devait être composée que d’une froide liste de liens !

Conseil #12 – Garder un oeil sur les données de performance

Si vous avez choisi un logiciel comme MailChimp ou SendinBlue, sachez que ces logiciels donnent de nombreuses informations sur la façon dont évolue votre newsletter. C’est en analysant de près la performance de vos campagnes que vous pourrez vous faire un véritable avis sur ce qui marche et ce qui ne marche pas. Attention cependant à ne pas en faire une obsession. Utilisez votre instinct pour vous guider, la pratique vous montrera ce qui est bien ou non.

Conseil #13 – Encourager les inscriptions à votre newsletter

Il y a plusieurs moyens de faire parler de votre newsletter, et c’est à vous de tous les exploiter au mieux. Partagez-la sur les réseaux sociaux, et ajoutez toujours un lien pour s’y inscrire à la fin de vos contenus. Arrangez-vous pour que cette inscription se fasse simplement et rapidement, ou votre futur abonné se découragera.

Conseil #14 – Etre convaincant

Vous devez croire dans ce que vous écrivez ! Si vous n’y croyez pas, votre abonné n’y croira pas non plus. Vous devez être convaincant.

Conseil #15 – Encourager les feedbacks

Les newsletters sont souvent un moyen de communication… à sens unique. Cependant, une communication digitale devrait toujours se faire dans les deux sens. Ainsi, vos abonnés restent impliqués. Ajoutez des liens pour la concurrence, ou demandez des retours. Avec le temps, vous allez remarquer la création d’une communauté, et les messages que vous enverrez concerneront des semblables, non plus des inconnus.

Conseil #16 – Etre curieux et inspiré

Cherchez toujours ce que vous pourriez ajouter de plus intéressant. Marquez les pages qui vous intéressent, notez des citations, prenez des photos, écrivez sur vos expériences. Faites de votre mieux, ne donnez pas l’impression que vous ne partez de rien.

Conseil #17 – Etre régulier

Certaines personnes attendent votre newsletter, et parfois avec impatience ! C’est la régularité de vos contenus qui créé ce phénomène. Mais ne choisissez pas une fréquence d’envoi trop rapprochée, sous peine de transformer vos newsletters en spams pour de nombreux inscrits.

Conseil #18 – Donner en retour

Ne vous contentez pas d’informer vos inscrits sur votre entreprise, sur votre activité ou sur vos partenariats. Il faut leur en donner plus. Ils ne sont pas bête et savent que la finalité d’une newsletter est la plupart du temps promotionnelle.
Il n’y a pas de problème à faire votre pub, du moment qu’ils sont d’accord avec ça, mais ajoutez d’autres choses, comme votre soutien à des causes et associations diverses, ou à d’autres entreprises. Ils vous le revaudront peut-être par un retour de faveur.

Un dernier conseil : Tester !

Comme pour toute création, il faut toujours tester avant de proposer au public. Vous êtes le meilleur sujet pour tester votre newsletter : envoyez-la sur votre propre boîte mail, puis essayez de l’ouvrir sur différents services de messagerie, sur différents navigateurs et différents supports. C’est ainsi que vous pourrez prévisualiser tous les défauts de vos messages, comme une mauvaise tournure de phrase, une image qui n’apparaît pas ou qui est de mauvaise qualité, des difficultés d’envoi.

Nous sommes arrivés à la fin de cet article. Vous avez désormais toutes les clés en main pour créer la newsletter parfaite. À vous de jouer !

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